Extraits du Parcours : Je mets en place un marketing opérationnel
Quelques extraits en texte des formations en vidéo (nom de l’expert entre parenthèses).
La vidéo de présentation du parcours comprend les extraits en gras.
4P (Frédéric Canevet)
Avec les 4P, il y a :
– le Produit, les fonctionnalités ;
– la Place : la distribution, où on va vendre le produit ;
– la Promotion, qu’est-ce qu’on va mettre en place comme promotion ;
– et le Prix.
On va passer aux 4C :
– Customer need, le besoin du client : pourquoi va-t-il acheter ? On va s’intéresser à ses besoins mais surtout à ses problèmes.
Client (Hanane Samlani)
Mettre le client au cœur de toutes les stratégies et de l’organisation de l’entreprise afin de produire pour répondre à un besoin et non produire pour vendre.
Veille marketing (Frédéric Liotard)
La veille marketing et commerciale, qu’est-ce que c’est ?
C’est un ensemble de moyens, d’efforts, d’actions qui vont permettre d’avoir un maximum d’informations sur un produit, un client, un prospect, un concurrent, un marché, un contexte, une conjoncture.
Marché (Jean-Paul Debeuret)
On peut définir le marché par 5 points :
– son étendue : locale, régionale, nationale voire internationale ;
– les clients : sexe, âge, lieu d’habitation, catégorie socioprofessionnelle, besoins, habitudes de consommation ;
– les concurrents : directs, indirects, potentiels ;
– les barrières à l’entrée : diplôme, règlementaires, financières ;
– les facteurs clés de succès : techniques, commerciaux, humains, financiers, stratégiques.
Etude de marché (Frédéric Liotard)
2 objectifs principaux pour la nécessité de mettre en place une étude de marché : une nécessité de mesure et une nécessité d’évaluation.
Mesure, ça veut dire qu’on aura comme objectif de mesurer l’image de l’entreprise, la notoriété d’une marque, la pertinence d’un produit ou d’un service, la satisfaction auprès du client final d’un produit ou d’un service.
Au niveau de l’évaluation, on va être dans une quantité, mesurer le potentiel d’un marché, évaluer la capacité possible d’un réseau de distribution, mesurer la pertinence d’un territoire géographique, local, national, à l’export.
Etudier les stratégies (Bruno De Vathaire)
Une fois qu’on a bien identifié sa cible, comment obtenir un avantage concurrentiel certain et durable ?
Ça va passer par une étude stratégique. On va étudier les stratégies possibles des marques concurrentes et les stratégies possibles pour nous, en fonction de nos atouts. Il faut faire un bilan forces-faiblesses pour baser cette étude stratégique. On va essayer de trouver quelque chose de décisif et durable contre la concurrence et qui nous permette de garder une longueur d’avance.
Segment de marché (Stéphane Leblond)
Un segment de marché, c’est un groupe de consommateurs, soit des particuliers, soit des entreprises qui vont avoir des besoins et des contraintes similaires, vis-à-vis d’un produit ou d’un service, et qu’on va pouvoir grouper. On va parler de sous-ensemble du marché.
Stratégie de différenciation (Bruno De Vathaire)
La stratégie de différenciation, c’est d’abord une politique voulue par l’entreprise, une politique de communication et une politique marketing qui va aboutir à une stratégie de différenciation, en se basant sur les caractéristiques produit intrinsèques qui permettent de le différencier de la concurrence.
Design (Constance Jeanperrin et Clémence de la Serre)
Le design, ce n’est pas que du beau, c’est avant tout un produit qui est bien pensé et qui prend en compte à la fois l’utilisateur, la fonctionnalité et l’ergonomie.
Le design, c’est de l’innovation, c’est imaginer un nouveau produit ou un nouveau service, ou concevoir un espace de vente plus attractif. Mais le design, c’est aussi de la communication visuelle, c’est repenser une identité de marque, un packaging ou un site web.
Packaging (Delphine Raymond)
Le packaging c’est l’alliance de l’emballage, donc la taille, la forme du produit et toute la dimension de décor, le graphisme, le code couleur mais aussi tous les textes qui accompagnent le produit. Il a des fonctions techniques, et à la fois des fonctions marketing.
Canal de distribution (Frédéric Liotard)
Comment on peut définir ce qu’est un canal de distribution ?
C’est une voie d’acheminement entre un producteur de biens, de services ou de matériaux, avec un consommateur final.
Lancement de produit (Sophie Callies)
Un lancement de produit, c’est l’une des principales stratégies de croissance des entreprises. C’est donc une initiative majeure et une étape décisive qui va conditionner de sa mise sur le marché. Mais l’exercice est difficile.
Nouveau marché (Frédéric Liotard)
Conseils pour ceux qui veulent se lancer sur un nouveau marché.
Il faut que ce soit raisonné.
S’aventurer sur un nouveau marché, ça veut dire limiter les risques de l’aventure, c’est anticiper, anticiper.
Plan (Sophie Callies)
Il est difficile d’atteindre des objectifs s’ils ne sont pas définis et le meilleur moyen de les atteindre, c’est d’avoir un plan.
Un plan marketing doit répondre à 3 questions principales :
– Où en sommes-nous aujourd’hui ?
– Où souhaitons-nous aller ?
– Comment ?
Vendre (Nicole Coiffard)
On communique pour mieux vendre et, pour toute démarche, plaquette ou site web, avant de décider, il faut réfléchir à sa stratégie, à ses cibles de clientèle, de prospection et à ses métiers.
Une plaquette, c’est un document avec un nombre de pages limité, qui va vous obliger à être synthétique.
Un site web va vous permettre de faire la même et de beaucoup plus détailler votre offre.
Promotion de la marque (Marcel Saucet)
Le marketing non conventionnel repose sur quelque chose de très simple : il faut que les opérations de communication et de promotion de la marque soient peu coûteuses et extrêmement créatives. On ne se base plus sur les budgets exceptionnellement élevés des grandes marques.
Offre de services (Christine Pedditzi)
L’offre de services, c’est ce qui permet de présenter l’entreprise, de présenter les services, c’est-à-dire de dire qui on est, ce qu’on fait, auprès de qui on le fait et surtout notre différenciation par rapport aux choses qui peuvent exister déjà sur le marché.
Réseautage (Olivier Luisetti)
Le réseautage, c’est l’art de cultiver son réseau.
Définir un réseau : c’est un ensemble d’individus, fédérés par leurs relations, et qui échangent librement de façon complètement informelle leurs préoccupations et leurs centres d’intérêts communs, au sein d’un groupe, d’une communauté qu’ils animent eux-mêmes.
Réseau (Christine Pedditzi)
Comment, une fois que l’on est inscrit dans un réseau, être actif, connu et reconnu ?
2 manières :
– soit vous allez dans un réseau et vous assistez aux soirées en simple participant et vous rencontrez des gens, mais la démarche n’est pas forcément super active.
– ce que je conseille, c’est de s’impliquer, de donner, de se montrer, de voir qui on est, pour pouvoir apporter aux autres nos compétences ; pour pouvoir être la personne vue et reconnue de manière beaucoup plus rapide qu’en simple participant.
Se faire connaître (François Vandenberghe)
Il y a 2 moyens à la disposition des entreprises pour se faire connaître :
– le plus évident, c’est la publicité. Son avantage, c’est que vous maîtrisez totalement le contenu du message, vous savez où ça va paraître sous quelle forme.
– l’autre possibilité, ce sont les relations presse. Cela consiste à faire dire par les journalistes votre message. Les relations presse, c’est un ensemble de techniques et d’outils. Ces outils sont au nombre de 2 : le communiqué de presse, le dossier de presse.
Salon (Manuel Bouchet)
Les objectifs de la participation à un salon :
– le premier va être un objectif de notoriété : se faire connaître sur un secteur d’activité, être identifié comme un acteur sur ce secteur d’activité.
– le deuxième est de créer des opportunités de ventes et de vendre directement sur les salons ses produits et services.
Street marketing (Marcel Saucet)
Le street marketing, c’est une action qui permet de promouvoir la marque dans la rue, en respectant 2 règles : la créativité et un coût extrêmement bas.
En comparaison des autres actions événementielles qui se situent à l’extérieur des agences de pub et des studios, il faut également utiliser dans le street marketing le « street art », c’est-à-dire la créativité de la rue.
Publicité (Myriam Vandenbroucque)
Une publicité, c’est une action qui incite un client, un consommateur, à acheter, à consommer, en tout cas à agir.
La publicité institutionnelle, ça va plutôt être pour faire connaître, pour la notoriété, pour l’image, alors que la publicité produit, dans le cadre d’une publicité de marque, ça peut être aussi pour faire connaître, faire aimer cette notoriété, mais sera plus pour faire agir, acheter, consommer.
Formules de marketing à succès (Frank Théveneau)
Il existe 9 formules de marketing à succès.
Il vous suffit de vous positionner sur une pour être sûr que votre projet d’entreprise, votre entreprise ou votre segment de marché, va pouvoir véritablement bien se développer :
– le premier : ayez des prix les plus bas ;
– le deuxième : améliorez les services ;
– le troisième : allez au-delà des attentes de vos clients ;
– le quatrième : améliorez toujours plus votre qualité ;
– le cinquième : ayez une forte part de marché ;
– ensuite, entrez sur des marchés à forte croissance ;
– améliorez sans cesse vos produits ;
– adaptez et personnalisez vos offres ;
– innovez.
Stratégie marketing (Elie Liberman)
Une stratégie omnicanal est une stratégie marketing dans laquelle l’entreprise s’organise autour de ses clients. Elle interagit avec tous les moyens et canaux que les clients utilisent dans des parcours.
Le but à atteindre est de rendre l’expérience client la plus mémorable possible pour que les clients soient fidèles. Une entreprise attirante.
Il ne faut surtout pas abandonner les moyens marketing classiques. Il faut juste penser omnicanal, c’est-à-dire augmenter la puissance des outils.
Parcours émotionnel (Patrice Laubignat)
Le parcours émotionnel pour le client est le suivant :
– de la rencontre : arrivée sur le site,
– au test des produits et services : essayage virtuel,
– à l’idée d’aimer et d’acheter,
– jusqu’à un partage de son expérience : commentaires, liens.
Le consommateur (Elie Liberman)
Le consommateur a beaucoup évolué dans sa manière de consommer et d’acheter. Les entreprises doivent s’adapter à cela d’où l’omnicanal.
Le consommateur 2.0 est infovore. Il consomme beaucoup d’informations avant de passer à l’achat. Les entreprises doivent mettre les clients au centre de l’activité en changeant l’organisation et le processus d’interaction avec ceux-ci.
Contacts clients (Adrien Measures)
Les sources de contacts clients sont notamment Google et les réseaux sociaux.
Google analyse les sites internet grâce à ses robots et place ensuite leurs pages sur les résultats de recherche dans la position qu’il estime raisonnable.
Pour bien choisir ses mots clés, il faut s’assurer de leur pertinence, le volume de recherche et la concurrence sur ceux-ci.
Algorithme de Google (Emilie Hemmer)
Il y a à peu près 200 critères pris en compte par l’algorithme de Google pour faire le classement des résultats.
Et il fait 500 modifications par an dans l’importance donnée à chaque critère.
Les statistiques montrent que 58% des internautes ne regardent que les trois premiers résultats.
Le premier résultat capte 38% des clics.
Le travail sur le site est composé du travail technique (site répondant aux critères techniques de Google) et du travail rédactionnel (choix des bons mots clés précis et correspondant à l’activité de l’entreprise).
Sources de trafic (Denis Fages)
Les sources de trafic pour un site e-commerce sont :
– le référencement naturel,
– le référencement « payant » ou liens sponsorisés,
– les guides d’achats ou les comparateurs de prix,
– l’affiliation,
– le partenariat,
– les publicités,
– l’emailing, etc.
Achat de mots clés (Emilie Hemmer)
Pour fixer son budget d’achat de mots clés, il faut se baser sur le taux de retour qui doit être de 7 à 15 euros par euro investi.
Lorsqu’on effectue plusieurs publicités sur plusieurs plateformes, il faut avoir son propre outil de tracking.
Chaque campagne publicitaire nécessite un suivi particulier pour éviter toute perte d’argent.
Il est préférable de la confier à des agences spécialisées.
Acquisition de trafic (Denis Fages)
L’acquisition de trafic coûte cher.
Il est donc primordial de fidéliser ses clients car ils sont les plus susceptibles de revenir et ils sont les seuls à dire du bien de l’entreprise.
Les éléments qui brisent la confiance des clients sont : le mensonge, les promesses non tenues et l’absence de communication.
La vente est finie, seulement lorsque le client a reçu son produit et est content.
Le produit final est, en effet, la satisfaction du client.
Faire rester les clients (Patrice Laubignat)
Les pistes pour faire rester les clients sur son site sont :
– la personnalisation de l’offre,
– un accompagnement dans la navigation,
– la séduction en faisant la meilleure offre et en procurant les meilleurs souvenirs.
Sites internet (Frédéric Canevet)
La recherche universelle faite par Google permet d’afficher en un clic les sites internet répondant aux mots clés recherchés, les images et les vidéos correspondantes, les propositions d’achats et les avis clients.
Pour se démarquer des concurrents sur les résultats de Google, l’entreprise doit beaucoup travailler sur le visuel, la priorisation des informations connexes telles que l’avis des clients, la présence sur les places de marché.
Taux de transformation (Denis Fages)
Les critères améliorant le taux de transformation sont nombreux, complémentaires, et ne peuvent être dissociés.
Il est impératif de proposer différents systèmes de livraison : express, économique et relais colis.
Les différents modes de paiement doivent être acceptés par le site e-commerce : Paypal, carte bleue traditionnelle, paiement mobile, virement, chèque, etc.
Réalité augmentée (Grégory Maubon)
La réalité augmentée permet d’ajouter des éléments numériques sur de l’environnement réel.
Concernant l’essayage en ligne, il est relativement simple de faire essayer à l’internaute des objets durs tels que les montres et les bijoux.
Sur les objets mous tels que les textiles, cela est plus compliqué.
En revanche, des cubes d’essayage en magasin sont actuellement déjà fonctionnels.
Pour le service après-vente, la réalité augmentée peut être utilisée pour les manuels d’utilisation afin d’éviter un rappel du client.
Visite virtuelle (Hervé Heully)
Une visite virtuelle est une visite digitale qui est la capacité de capturer un environnement, de le dématérialiser, de le transposer sur un média et de mettre ce média entre les mains d’un périphérique.
La visite virtuelle à valeur ajoutée est une visite virtuelle interactive à laquelle des fonctionnalités d’enrichissement sont ajoutées.
Marketing mobile (Jean-Baptiste Gayet)
Le marketing mobile est la mise à disposition par l’entreprise des bonnes informations, au bon moment, pour les bonnes personnes. Le marketing mobile permet d’accélérer le processus de transformation d’une personne lambda en prospect et d’un prospect en client. Cela, en offrant la possibilité aux internautes d’interagir avec le message.
Les outils du marketing mobile sont : le SMS, le Quick Response (QR) code et la Near Field Communication (NFC).
Web marketing (Vianney Lardeau)
Le web marketing est l’ensemble des techniques et outils utilisés pour la publicité, décliné dans l’environnement internet. La particularité du web marketing local est que ces outils permettent de toucher une zone de chalandise délimitable à une région, un département, une ville ou même un quartier (hyper-local).
Le web marketing a les qualités suivantes : réactivité, culture du ROI, dématérialisation, ciblage géographique.
Place de marché (Jean-Pierre Villatte)
Une place de marché est une mise en relation des acheteurs et des vendeurs sur un support en ligne. Il y a deux types de places de marché :
– la place de marché généraliste : Amazon, eBay, PriceMinister, etc. ;
– et la place de marché spécialisée : Fnac, La Redoute, etc.
Amazon est le premier site e-commerce le plus visité en France. Vendre sur Amazon permet de profiter de sa visibilité.
Plateformes d’affiliation (Tristan Seuilliet)
Les plateformes d’affiliation prennent une commission d’environ 30% sur les commissions touchées par les affiliés.
Certaines plateformes d’affiliation appliquent des frais de mise en place qui peuvent aller jusqu’à 2000 euros.
Marketing prédictif (Yves-Marie Lemaître)
Le marketing prédictif est l’art de prédire les besoins futurs des clients ou des prospects. Le marketing prédictif consiste en la détection des signaux faibles, qui annoncent les changements de demain, et l’analyse des aberrations.
Le marketing prédictif sur les sites marchands consiste en la prise en considération de toutes les actions de l’internaute : les produits visités, les achats effectués, les commentaires postés. Cela, pour proposer les produits qui l’intéresseraient ultérieurement.